Rapport sur le chauffage résidentiel au bois
L’hiver, le chauffage résidentiel au bois est une source
importante de pollution de l’air. Il est responsable, entre autres, de près
de la moitié des émissions de particules fines provenant des activités
humaines. On sait maintenant que dans les secteurs résidentiels où le
chauffage au bois est très répandu, les concentrations de certains polluants
peuvent être plus élevées que dans les centres-villes. Ce constat s’appuie
sur les résultats d’une étude menée dans le quartier montréalais de
Rivière-des-Prairies à l’hiver 1999 et publiée en 2000.
Le chauffage résidentiel au bois est une source de
préoccupation pour le ministère de l’Environnement du Québec. D’abord parce
que les émissions de polluants résultant de cette activité peuvent avoir un
impact nocif sur la santé de la population, et ensuite, parce que le nombre
d’installations de chauffage au bois s’accroît au Québec.
C’est dans ce contexte que le Ministère s’est joint à la
Ville de Montréal et à Environnement Canada pour compléter entre l’hiver
1999 et l’été 2002, l’étude qui avait été commencée dans le quartier de
Rivière-des-Prairies.
Rapport sommaire : Le chauffage résidentiel au bois -
Sommaire des résultats obtenus de 1999 à 2002
Format PDF, 208 ko
Le rapport complet est disponible sur demande par
courriel ou en téléphonant au
1 800 463-4311.
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